Par où commencer ?
Par l'antipathie transcendante du personnel, qui donne envie de tourner les talons à peine la porte d'entrée franchie... ou par l'agréable surprise d'un macaron, à la fois croquant et fondant en bouche ?
Par la qualité inégale des différentes variétés, qui parfois manquent de finesse et s'en retrouvent trop gras et trop sucrés... ou par le super branding de la marque, avec un nom tout aussi évocateur, que provocateur ?
Par les pépites de macarons qui n'ont absolument rien d'extraordinaire et sont plutôt fades... ou par les prix exagérés ?
Finalement tout est dit, à part peut-être que le rapport émotionnel d'une entreprise avec ses clients est un facteur de loyauté ; que l'expérience client fait intégralement partie de l'expérience gustative, qu'il s'agit là de l'extension du produit, de la "cerise sur la gâteau" et qu'en définitive, un bon produit combiné à un mauvais service, ça donne... un mauvais produit.