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| - Restaurant de type "le passé avec le jukebox".
Il n'y avait plus de place au rez-de-chaussée alors l'hôtesse nous a dirigées vers le sous-sol en nous disant de ne pas s'en faire, que c'est bien éclairé.
En effet, bien éclairé par des ampoules électriques, on se sentait un peu comme dans une caverne. En plus, la table se trouvait pratiquement dans le chemin de la clientèle et des gens qui faisaient le service. J'aurais préféré attendre un peu plus longtemps en sachant que tout le monde serait plus confortable. C'est okay d'avoir 3 tables en moins pour que les gens puissent circuler et respirer mieux!
Pas très cher et efficace - sauf le (mauvais) café, d'ailleurs, pourquoi les cafés ne sont pas inclus dans le prix des assiettes déjeuners ? Oh well.
J'ai commandé le "Energy Breakfast": croissant, jambon, 3 ufs brouillés et beaucoup de fromage par dessus, tout ca avec des p'tites patates qui goûtent la tendresse. Pas de flafla, pas de
décorations en fruits ni de confettis. C'était bon, sans grimper au plafond.
Le service: excellent. Les serveurs.ses avaient vraiment notre bien-être à cur (ou iels font vraiment bien semblant). Super expérience.
Salutations à la serveuse qui a lancé un regard dégoûté à un client qui souhaitait changer de place avec sa famille à cause des démonstrations d'affection de ma blonde et moi. La famille a pu changer de table, grand bien leur fasse, mais le patriarche n'avait probablement pas compris qu'on était dans le village gay de Toronto et aussi en 2018. OUPE !
Seul hic, on a été servies après des gens qui avaient commandé un bon moment après nous alors que nos assiettes étaient similaires. On avait vraiment faim alors peut-être que ça nous a paru plus long qu'en réalité. Un peu décevant quand même.
Une expérience correcte dans l'ensemble, mais je n'y retournerai pas en courant lors de ma prochaine visite à Toronto.
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