Ce tabloïd ne peut supporter la satire surtout s'il est pris pour cible. En conséquence il a mobilisé ses immenses ressources financières pour mobiliser une armée d'avocats et épuiser judiciairement deux personnes qui avaient mis sur pied un site web qui se foutait de leur gueule.
Contenu informatif douteux, sensationnalisme en première page, parti-pris populistes de droite, c'est l'exemple pathétique version montréalaise d'un journal jaune.